Mercredi 31 janvier, c’est l’A G d’Oser. Il est 20 h, la grande salle ronronne de bien-être, plaisir de retrouver les anciens et de rencontrer les nouveaux. Jacques nous entretient du rapport moral, de la stabilité du nombre de stagiaires, de la forte émulation des intervenants et de sa non moins forte émotion de quitter la présidence au bout de 6 ans ½. Il remercie chacun de « remettre debout toutes les personnes qui leur sont confiées ».

Max Leenhardt est élu à l’unanimité nouveau président d’OSER78, bienvenue à lui !

Entre en piste Philippe Bléhaut, Partner Development manager chez Microsoft, qui va nous proposer un éclairage sur le thème « Intelligence Artificielle et métiers : Séisme ou opportunité », plus précisément, l’IA Générative qui crée des nouveaux jeux de données ( textes, images, etc.), alors que l’IA classique analyse des données existantes pour les classer ou en tirer des prédictions. Alors, peur ou même pas peur ?

L’IA n’est pas intelligente, c’est un outil. L’IAG, elle, ne se contente pas de classer les données d’entrée qu’on lui a fourni, elle en génère de nouveaux, s’appuie sur l’existant et le passé, c’est un compagnon dont chacun est le pilote. Nous ne serons donc pas remplacés par elle, mais par quelqu’un qui saura l’utiliser, alors apprenons à « prompter » = dialoguer en interface avec elle.

C’est une révolution car elle va générer beaucoup de nouveaux métiers (données de l’éthique, de l’informatique, du social), mais impacter ceux de la production, de la logistique, de l’administratif, les journalistes, professeurs, etc.

C’est donc une révolution qui s’annonce, et l’humain dans tout ça ? Rien ne le remplacera jamais, mais les risques de manipulation sont réels, la suppression massive d’emploi également ainsi que les failles de cybersécurité, donc restons proches les uns des autres et surtout des enfants pour leur montrer les limites du système.

Mais aucune I A ne reconstituera jamais la chaleur humaine, comme celle de ce mercredi soir chez OSER…